l'autentico Gattapone;
umbria westfalia


ho scritto una volta alla patricia del transimeno spiegandole l'ammirazione che provo per ferruccio come buona parte del mondo esagerando sulla inebrinate accoglienza di westfalia tanta cara alla patterson  nel mese di settembre.,credo come la bella l'umbria per come la immaginavano i miei avi descritti nel seguente paragrafo,che dedico alla sua casata:

Les Ribeaupierre (aussi appelés les sires de Rappoltstein ou Rapoltstein) sont une lignée de seigneurs d’Alsace. Ils furent l’une des familles les plus illustres et des plus titrées d’Alsace pendant plusieurs siècles. Ils prirent le nom de sires de Rappoltstein en référence à ce château, puis celui de sires de Ribeaupierre.
La légende fait descendre les Ribeaupierre des célèbres Ursini de Spolète d’Italie. En 1030 on retrouve trois frères de cette lignée forcés de quitter le pays. Ils vont se réfugier en Allemagne. L’un des trois frères, Rochus, va s’installer par la suite près du village de Sigolsheim pour y construire un château qu’il nommera « Roche Spoletine ». À l’époque de Frédéric Barberousse, duc d’Alsace et de Souabe, l’Alsace voit arriver de nombreux chevaliers. L’un d’eux, Egenolf d’Ursingen qui épousera Emma une riche héritière alsacienne en 1022, sera le fondateur de la famille des Rappolstein. Le domaine sera alors intégré à celui de la famille impériale du Saint-Empire romain germanique.
Ensuite le château de Rappoltstein est construit sous le nom de Castrum Rapolsdestein qui est probablement celui connu aujourd’hui sous le titre de Saint-Ulrich. C’est Henri IV du Saint-Empire qui en 1084 cèdera ce château à l’évêque de Bâle. Le château est ensuite repris vers 1114 par l’empereur Henri V du Saint-Empire. Frédéric Barberousse le rend vers 1162 à l’évêque de Bâle, Ortlieb von Froburg, qui le concède à Eguelophe Ier d’Urselingen1 (fils d’Egenolf d’Ursingen), qui vint s’établir en Alsace vers 1160 et qui fut ainsi le premier héritier des Ribeaupierre. Il s’éteindra vers 1186. Depuis, le château de Rappolstein fut le fief des descendants qui prirent le nom de sires de Rappoltstein ou Ribeaupierre et le possédèrent constamment à ce titre comme relevant de l’évêché de Bâle. Il prit le surnom de « Spolète », du gouvernement de cette ville qu’il obtint de l’empereur Frédéric Ier, lorsqu’il l’accompagna dans les expéditions d’Italie.
Egelolfus de Urselingen (ou Eguelophe Ier d’Urselingen) est nommé comme témoin dans plusieurs actes de 1163 à 1185, entre autres dans les diplômes de l’empereur Frédéric Barberousse, l’un rédigé en 1166 pour le monastère d’Ilbenstadt, l’autre de 1170 pour l’église de Coire, le troisième de 1174 pour l’abbaye de Neubourg. En 1176, Egelolphe et son épouse Gertrude comptent parmi les bienfaiteurs de l’abbaye de Pairis (dans le Val d’Orbey)2. Ce nom est encore mentionné dans les souscriptions de la charte de Frédéric, duc d’Alsace pour le couvent de Truttenhausen, en 1181, et figure dans un acte de 1185, de Bertold V dernier duc de Zähringen, au nombre de ses vassaux. La même année, il est rappelé dans un diplôme de l’empereur Frédéric Barberousse, daté de Colmar et dans les lettres d’Henri, évêque de Strasbourg. D’après le Fragmentum historicum, Egelophe livra le 8 novembre 1178, un combat sanglant contre Cunon de Horbourg, près de Logelheim (Neuf-Brisach). Il mourut vers l’an 1186 ou 1187.
Cette puissante seigneurie comprendra par la suite une trentaine de communes dans le Haut-Rhin, dont Guémar, Illhaeusern, Bennwihr, Ribeauvillé, Zellenberg, Thannenkirch, Aubure et une partie de Sainte Marie-aux-Mines. Sa puissance culmina avec Maximin Ier et Guillaume II. Ce dernier fut très proche de l’empereur Maximilien Ier. Egenolf3 fit reconstruire le château de Guémar et en fit sa résidence. Le dernier membre de cette illustre lignée fut Jean-Jacques, qui n’eut que deux filles. L’un de ses gendres, le comte palatin Christian de Birkenfeld prit sa succession.